Analyse

Éthiopie : une transition accélérée vers la mobilité électrique

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Un conducteur charge sa voiture électrique dans une borne de recharge à Addis-Abeba, en Éthiopie, le jeudi 3 octobre 2024.
Un conducteur charge sa voiture électrique dans une borne de recharge à Addis-Abeba, en Éthiopie, le jeudi 3 octobre 2024. AP
L’an dernier, l’Éthiopie est devenue le premier pays de la planète à interdire les importations de véhicules thermiques. Une décision anticipée qui a contraint le secteur à s’adapter, en dépit des défis liés au coût, au manque d’infrastructures ou encore à l’avenir des batteries électriques.

Leur silhouette rectangulaire et leur démarche silencieuse font partie du paysage d’Addis-Abeba depuis le décret radical du gouvernement éthiopien. Depuis fin janvier 2024, seules les voitures électriques ou hybrides peuvent être importées dans le pays, une décision pionnière à l’échelle mondiale. À titre de comparaison, l’Union européenne prévoit de bannir les véhicules thermiques à l’horizon 2035.

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