Analyse

Guerre à Gaza : des cartes eSIM pour connecter les Gazaouis au reste du monde

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Shahed Abu Omar, une étudiante en génie informatique, est assise sur les décombres d’une maison et étudie en ligne via son téléphone portable, au milieu des décombres, à Khan Younes dans le sud de la bande de Gaza, le 20 août 2024.
Shahed Abu Omar, une étudiante en génie informatique, est assise sur les décombres d’une maison et étudie en ligne via son téléphone portable, au milieu des décombres, à Khan Younes dans le sud de la bande de Gaza, le 20 août 2024. Mohammed Salem / REUTERS
Privés d’Internet en raison des bombardements de l’armée israélienne et de la destruction des infrastructures, les Gazaouis doivent compter sur la solidarité numérique pour rester connectés. Des activistes du monde entier se mobilisent pour leur fournir des cartes eSIM, devenues un outil vital pour pouvoir se connecter.

Comment témoigner depuis Gaza de la situation sur place ? La réalisatrice gazaouie Bisan Owda a recours aux réseaux sociaux. Pendant le mois de ramadan, elle a ainsi publié une vidéo sur son compte Instagram, suivi par 4,8 millions de personnes, accompagnée de cette légende : « Je n’avais pas Internet à ce moment-là. Cette vidéo a six jours de retard, mais le message reste le même : notre vie est misérable ».

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