Comment témoigner depuis Gaza de la situation sur place ? La réalisatrice gazaouie Bisan Owda a recours aux réseaux sociaux. Pendant le mois de ramadan, elle a ainsi publié une vidéo sur son compte Instagram, suivi par 4,8 millions de personnes, accompagnée de cette légende : « Je n’avais pas Internet à ce moment-là. Cette vidéo a six jours de retard, mais le message reste le même : notre vie est misérable ».
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte