Analyse

Guerre à Gaza : pourquoi la société française Eurolinks se retrouve sur la sellette

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Marseille, le 5 juin dernier. Une plainte pour complicité de crimes de génocide, de guerre, et contre l’humanité a été déposée, mercredi 11 juin 2025, par la Ligue des droits de l’homme contre Eurolinks.
Marseille, le 5 juin dernier. Une plainte pour complicité de crimes de génocide, de guerre, et contre l’humanité a été déposée, mercredi 11 juin 2025, par la Ligue des droits de l’homme contre Eurolinks. CHRISTOPHE SIMON / AFP
Une plainte pour complicité de crimes de génocide, de guerre, et contre l’humanité a été déposée, mercredi 11 juin, par la Ligue des droits de l’homme contre Eurolinks. L’entreprise française est soupçonnée de vendre des pièces pour fusils-mitrailleurs à IMI Systems, « fournisseur exclusif » de l’armée israélienne.

La société Eurolinks dans la tourmente. Une plainte pour complicité de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et crime de génocide a été déposée, mercredi 11 juin, par la Ligue des droits de l’homme (LDH) contre l’entreprise qui fabrique des maillons pour armes automatiques. Selon le document confidentiel que La Croix a pu consulter, la société française « s’apprêtait à livrer des pièces détachées (…) à l’entreprise israélienne d’armement IMI Systems ».

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