Reportage

À Mayotte, six mois après le cyclone Chido, l’école comme îlot d’espoir et de stabilité

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À la sortie du collège-lycée de L’Espérance géré par les Apprentis d’Auteuil dans le village de Kawéni, à Mamoudzou.
À la sortie du collège-lycée de L’Espérance géré par les Apprentis d’Auteuil dans le village de Kawéni, à Mamoudzou. Stéphane Oiry pour La Croix L’Hebdo
En décembre 2024, le cyclone Chido a dévasté Mayotte, le département le plus pauvre de France. Six mois plus tard, l’école y reste un îlot de stabilité dans un océan de précarité. La Croix L’Hebdo a passé une semaine avec des élèves du collège-lycée de l’Espérance, géré par les Apprentis d’Auteuil.
Au sommaire de cet article
  1. Lundi
  2. Mardi
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Sur les hauteurs de Kawéni, les bidonvilles ont resurgi à l’horizon comme si de rien n’était, agglomérats fragiles de tôles et de planches. Le 14 décembre 2024, le cyclone Chido, qui a officiellement laissé 40 morts et 41 disparus dans son sillage à Mayotte, les avait soufflés. Leurs habitants les ont reconstruits eux-mêmes, sans traîner. Où pouvaient-ils aller ? Ils sont souvent sans papiers.

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