Sur les hauteurs de Kawéni, les bidonvilles ont resurgi à l’horizon comme si de rien n’était, agglomérats fragiles de tôles et de planches. Le 14 décembre 2024, le cyclone Chido, qui a officiellement laissé 40 morts et 41 disparus dans son sillage à Mayotte, les avait soufflés. Leurs habitants les ont reconstruits eux-mêmes, sans traîner. Où pouvaient-ils aller ? Ils sont souvent sans papiers.
Cet article est réservé aux abonnés
Vous souhaitez lire la suite ? Abonnez-vous sans engagement à notre offre numérique
Je m'abonne
Déjà abonné ? Je me connecte