De mémoire de vignerons, le printemps 2017 est l’un des plus dévastateurs depuis l’année noire de 1991. Mais Anne Haller, directrice déléguée FranceAgriMer des filières vin et cidre, préfère s’en tenir aux faits. « La vague de gel qui s’est déclenchée à la mi-avril a touché tous les bassins à divers degrés. Il est évident que cet épisode aura un impact négatif sur la production et certaines exploitations. Mais il est trop tôt pour mesurer les pertes en termes de volume », souligne-t-elle.
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