Analyse

En Afrique du Sud, le discours victimaire des Blancs dopé par Donald Trump et Elon Musk

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Des « réfugiés » afrikaners d’Afrique du Sud arrivent à l’aéroport international de Dulles (Virginie, États-Unis), le 12 mai.
Des « réfugiés » afrikaners d’Afrique du Sud arrivent à l’aéroport international de Dulles (Virginie, États-Unis), le 12 mai. Julia Demaree Nikhinson / AP
La validation par Donald Trump du mythe d’un « génocide des Blancs », allant jusqu’à offrir le statut de réfugié aux Afrikaners, encourage la libération d’un discours extrémiste.

« L’Afrique du Sud que j’aimais et qui m’aimait est morte en 1994 (date de l’arrivée au pouvoir de l’ANC, NDLR) et ne reviendra jamais. » C’est l’un des nombreux commentaires que l’on peut retrouver sur un groupe Facebook dédié aux personnes intéressées par le programme d’aide aux réfugiés mis en place récemment par les États-Unis. Il rassemble quelque 5 700 membres.

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