« Sur la capitalisation, nous n’avons pas de tabou. » La petite phrase glissée par la secrétaire générale de la CFDT Marylise Léon, mercredi 21 mai au Figaro, n’a rien d’anodin. Jusqu’ici, seuls quelques responsables syndicaux réformistes admettaient du bout des lèvres la nécessité d’introduire une dose de capitalisation dans le système de retraites par répartition. Et encore n’acceptaient-ils de prononcer les mots syndicalement plus corrects d’« épargne populaire » que portes fermées et micros coupés.
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