« Mesdames, Messieurs les parlementaires, oui, notre société est bien inquiète, mais nous ne nous résoudrons jamais à penser qu’elle puisse calmer cette inquiétude au prix d’une rupture anthropologique qui créerait les conditions d’un crime contre la dignité, d’un crime contre la fraternité, d’un crime contre la vie. » Dans une lettre ouverte aux députés et sénateurs d’Île-de-France, les évêques franciliens s’élèvent vigoureusement contre la proposition de loi, soumise en première lecture au vote des députés mardi 27 mai, ouvrant un droit à l’aide à mourir.
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